Un Maire élu par défaut, grâce à
Madame Vermillet et une partie de son équipe qui ont préférées Monsieur Noury
et son équipe socialiste « les bâtisseurs de la pauvreté », constituée
d’élus sans idées, inexistants, ancien détenu, ne saura faire face aux enjeux importants qui nous attendent
Il est vrai que notre équipe,
composée de personnes sincères et honnêtes, n’aurait jamais accepté de
participer à une quelconque magouille ou de composer des accords contre nature
par intérêts personnels. Madame Vermillet l’avait bien compris !!! Madame
Herault a su refuser les propositions pécuniaires
organisées par le trio, Dugoin, Trehin, Vermillet, ce même trio apprendra, a
l’avenir, que certains font passer leurs convictions avant leurs avantages et
n’abandonnent pas leurs colistiers au milieu du guet, mais il est vrai que chez
ces gens-là, on ne pense pas, on compte.
L’hypocrisie de Madame Vermillet est sans
limite et sa politique à géométrie variable dépend de ce que ça lui rapporte (1800
€ mensuel ) , elle qui était contre notre adhésion à la calpe, elle qui l’a
tant critiqué, elle qui nous a reproché notre adhésion à ce vote, aujourd’hui elle se frotte les mains et
se remplie les poches. C’est en toute objectivité que nous avions voté pour
notre entrée dans la CALPE, car comme Monsieur Noury, nous avons pensé que cette décision était logique, non seulement
pour le progrès de notre ville, mais aussi en terme d’emplois et de transport (création
du pôle d’Orly) ce qui ne semble plus être le cas à ce jour.
La CALPE ayant basculé, les
indemnités des élus ont pris le pas sur les décisions importantes qui
concernent les citoyens de notre agglomération, comme le refus de la création
d’un IUT à Athis-Mons, les arguments de cette décision de la part des élus Athégiens
sont tendancieux et dirigés par des considérations personnelles sans fondements
légitimes.
Madame Vermillet ferait bien de
justifier son indemnité par la propreté de notre ville puisqu’elle est
Vice-Présidente à l’environnement, et que malheureusement rien n’a changé,
c’est même pire !
Aujourd’hui les citoyens de
Morangis se rendent compte que la mascarade électorale est terminée et qu’ils
se sont fait berner par l’équipe de Passion Morangis dont le seul but n’était
pas un changement politique par une nouvelle gestion de la commune, et en
particulier une urbanisation maitrisée, réfléchie et sans arrières pensées. Mais
la promotion personnelle d’une incompétente sans charisme qui voulait nous
ramener à l’époque Trehin et CIE.
Nous pouvons d’ores et déjà vous
annoncer, que non seulement l’urbanisation va continuer et s’amplifier, mais
aussi que nos impôts ne vont pas tarder à augmenter, et comme d’habitude ça ne
sera la faute ni des uns ni des autres.
C’est un peu comme celui qui se
fait licencier, et qui fait payer sa maison par l’assurance chômage !
A titre personnel, et hormis
l’urbanisation de Monsieur Noury qui d’ailleurs arrange certains faux opposants
qui crient au loup, tout en étant vénalement satisfaits, la politique de
Monsieur Noury est pour moi meilleure que celle que nous auraient instauré les
réacs d’antan qui voudraient nous faire croire ce qu’ils ne sont pas et ne
seront jamais.
Pour moi dénoncer des
incohérences n’est pas une critique, mais une obligation à donner à réfléchir,
qui n’existe que par la provocation, même si cela en gène certains, qui pour se
défendre utilisent l’insulte ou le mensonge ou les pressions, et qui nous amène
à des dérives ou des profits comme
l’affaire Bigmalion ou les récentes affaires « Cahuzac », qui laissent
le citoyen lambda effaré par des sommes rêveuses, mais dans le même temps par
ceux qui souffrent par manque du minimum.
Monsieur Noury n’est pas un Maire
irréprochable, loin de là, mais quitte à me répéter, l’urbanisation cause et
causera sa perte comme elle a sanctionné les élus des villes environnantes, si
je devais choisir entre un Monsieur Noury avec ses défauts et une Madame
vermillet avec ses fausses qualités, mon choix se porterait sans hésitation sur
Monsieur Noury.
Bien évidement ces lignes
n’engagent que moi, et c’est avec l’autorisation de Morangis Avenir que ces
lignes sont publiées.
Mayer Nakache
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